En cette période électorale où on voit des candidats changer d'enseignes politiques comme de chemises, dont l'exemple type est l'inutile sénateur Michel Dagbert ;
En cette période électorale où l'on voit des candidats qui n'ont jamais travaillé réellement dans la vie privée, et qui sont des experts en simulation (ndlr : nous reviendrons sur ce sujet à partir d'un exemple à faire vomir), qui cherche leur salut dans une "planque" rémunératrice, à l'Assemblée Nationale, dont l'exemple type est l'inutile président du CCAS béthunois : Hakim El Azouzi;
Etc.
Il nous paraît utile de rappeler que des élus fidèles, à leurs engagements, ont refusé toutes compromissions politiciennes et préférer abandonner leur mandat plutôt que de renier leurs idées. Nous pensons à Pierre Mendès-France. Aucune comparaison, il va se soi avec ce candidat rejeté par la gauche rassemblée, et à l'égo surdimensionné incompatible avec la biodiversité progressiste.
À tous ces candidats qui nous appellent à mourir pour des idées, comme Georges Brassens nous les invitons à mourir les premiers.
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