JOUR DE GLOIRE POUR OLIVIER GACQUERRE : C'EST LE CARNAVAL À BÉTHUNE
ILLUSTRATION TdNM
L'histoire retiendra, à ce jour, que contrairement à ses prédécesseurs, notamment Jacques Mellick, l'occupant actuel de l'hôtel de ville, n'a rien d'un bâtisseur et encore moins d'un visionnaire préparant l'avenir. Il est de ces professionnels de la politique pour qui la martingale pour se faire réélire consiste à ne rien faire qui puisse mécontenter, et qui se refugient volontairement dans l'immobilisme réel et habilement masqué.
MONSIEUR CARNAVAL
Une attitude qu'il faut brouiller par une agitation régulière pour singer l'action, et pour Olivier Gacquerre, maire de Béthune par défaut, la priorité de la politique municipale se résume donc à organiser fêtes et cérémonies. On connaît l'adage éculé : "des jeux et du pain pour le peuple". Ce qui lui vaut au café du Commerce et ailleurs, le surnom de "Monsieur Carnaval"
Cela semble lui réussir, mais il ne faut pas en déduire trop rapidement que les béthunois sont des cons. Car quand les fumées de la propagande municipale se dissiperont, ce qui inévitablement se produira, la triste réalité se rappellera à leur bon souvenir, et plus violentes en sera leurs réactions.
COMME LA CIGALE...
Quand tomberont prochainement les feuilles des impôts locaux, les propriétaires de leurs habitations comprendront ce qu'est la gestion d'Olivier Gacquerre, et leurs portemonnaies découvriront douloureusement le coût de la politique municipale de festivités
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