Nous trouvons d'une très grande médiocrité ces petits politiciens, qui ne pouvant atteindre un élu s'attaquent à ses collaborateurs. Souvent sous le prétexte fallacieux d'exiger la transparence dans la gestion, alors que les motifs réels sont souvent vénaux. Nous en avons malheureusement de nombreux exemples, le dernier en date s'est déroulé dans la cité punéenne.
La gestion des ressources humaines est souvent d'une très grande opacité dans certaines collectivités, comme celle de Béthune ou à l'agglo Béthune-Bruay-Artois lys. Combien de membres dans les cabinets ou aux services communication ? Absence douteuse d'organigramme etc.
Ces sujets doivent faire l'objet d'une plus grande transparence et les oppositions seraient bien inspirées de l'exiger, ce qui est loin d'être le cas, malheureusement, dans ces deux collectivités. Là nous sommes sur le terrain de l'éthique, et du jeu démocratique. On ne peut que se féliciter que certains citoyens prennent le sujet à cœur, et cherchent à trouver le chemin, non pas d'une opposition politique stérile, mais celui de la transparence.
Par contre tenter de discréditer un collaborateur d'un élu pour tenter de l'affaiblir ce dernier est une pratique politicienne médiocre, qui sous couvert de transparence véhicule les pires dérives de notre vivre ensemble. Qui nous rappelle la nauséabonde période de la collaboration.
Et cerise sur le gâteau, les investigateurs de ces comportements honteux, sont souvent loin d'être des parangons de vertu. Leur pseudo engagement pour l'éthique n'est que le cache sexe d'une motivation masquée et plus vénale, qui trouve souvent sa source dans des contentieux affairistes.
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