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BÉTHUNE : UN SKATE-PARK COMME COUR DE RÉCRÉATION POUR L'ÉCOLE CORANIQUE DE LA MOSQUÉE ?

Le parvis de l’école de musique sera aménagé pour les skateurs, à proximité de la mosquée de Béthune. Pourquoi ?




Capture d'écran TdNMatin




Notre titre est volontairement provocateur pour être à la hauteur des nos légitimes interrogations et même de notre indignation ! Pour quels raisons cette localisation ?


Le skate est, certes, un sport comme un autre, mais particulièrement bruyant. Tous les riverains d'un skate-park vous le confirmeront, et la qualité des matériaux ni pourra rien. C'est pour amuser la galerie et faire passer la pilule.


Une enquête aurait été, parait-il, réalisée par la municipalité auprès des skateurs. En fait trois (on nous dit deux gamins) font du skate à cet endroit. Si l'on suit la même logique, on devrait installer une canisette place du Quatre Septembre, où des garnements de chiens viennent faire pipi contre les bac à fleurs ! Soyons sérieux et arrêtons ces manipulations grotesques de l'opinion. Les Béthunois méritent mieux.


Ces précautions méthodologiques posées (une formule pour pour ajouter au ridicule), il est difficile de comprendre une telle décision qui résonne d'imbécilités : installer un assourdissant skate-park aux portes de l'école de musique !

Une provocation ? Les responsables de l'école seraient-ils dans le collimateur politique du maitre (lire ici)


 

Une première étape pour une fermeture programmée de l'école de musique ? Nous avons un malheureux précédent, avec l'installation du club beuvrygeois d'aviron au port de plaisance de Béthune, pour justifier son coulage.



 

Encore que l'on peut sérieusement douter de la capacité intellectuelle de la majorité actuelle à concevoir une telle stratégie diabolique, surtout à proximité de la mosquée .




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C'est peut être là, la clef de la réponse à notre interrogation initiale. On connaît les liens confessionnels et compatriotiques entre certains membres de la majorité municipale et les dirigeants de la mosquée. Adhérents à l'Union des Organisations Islamistes de France, considérée comme la filiale française des Frères Musulmans, prônant un islamisme radical conquérant et politique.


Comme le dénonce indirectement Jean-Pierre Chruszez dans son livre : "Paternoster, le candidat de la mosquée"(voir ci-dessus)



En cette période de Ramadan a-t-on voulu, dans le cadre du clientélisme communautarisme municipal, donner un signe, en offrant une cour de récréation pour les écoliers de l'école coranique de la mosquée de Béthune ?


Ou sommes nous en train de sombrer dans un complotisme au ras des pâquerettes ?








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