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Photo du rédacteurTERRES DU NORD MATIN

BÉTHUNE : CELA COMMENCE À SENTIR LES ORANGES

Dernière mise à jour : 5 oct. 2020




L'opacité de la gestion municipale de la ville de Béthune est devenu le label de qualité du tandem Olivier Gacquerre-Pierre Emmanuel Gibson. L'association de lutte contre la pollution leur a même adréssé un carton rouge sur ce sujet .

UNE GRAVE DÉRIVE


Nombreux sont de la sorte de recours devant la CADA. Même les élus de l'opposition se voient interdire l'accès à certaines informations. A titre d'exemple nous avions déjà fait part de la triste mésaventure de Jean-Marc Dendievel, le président de la commission des finances à qui le maire refuse de fournir les factures et les explications sur des dépenses énormes de frais de bouche.


Est-ce à comprendre que ce dernier était un président fantoche ou bien docile, comme le fut l'opposition de l'équipe de Jacques Mellick sur une grande partie du mandat précédent. Certains observateurs ou élus de l'opposition n'hésitaient pas d'ailleurs, à l'époque, de repousser la frontière de la compromission en évoquant la complicité... Ils se sont ressaisis depuis, tant mieux.

Cette rétention volontaire de l'information, qui va jusqu'à ne plus produire les comptes rendus des conseils municipaux, est grave et une insulte aux règles de fonctionnement de toute démocratie.


 

Elle prive, certes les citoyens, mais aussi les élus (notamment de l'opposition) de tout moyen de contrôle. C'est un grave déni de démocratie et suscite inévitablement la suspicion : qu'ont-ils de si grave à cacher ?

 

LES SERVICES ONT BON DOS



La réponse du tandem à ces critiques est toujours la même : "les services sont débordés et ne peuvent répondre aux nombreuses sollicitations d'informations" ou parfois une variante plus méprisante : "les services ont autres choses à faire que de repondre aux élucubrations de cerveaux dérangés... (dixit Pierre-Emmanuem Gibson à la presse!)"



 

Au-delà de la puérilité de la réponse force est de constaté que les services sont systématiquement débordés lors de demandes d’information concernant des dossiers qui chiffonnent le nez


 

Comme cette demande concernant les dispencieux frais de bouffe, ou encore plus récemment la copie de l'acte de vente de l'hôtel Beaulaincourt ! Et sa suspicion de faux en écriture publique...


UN REFUS TOTALEMENT ILLÉGAL !


Nous suivons ce dossier sulfureux et essayons de comprendre pourquoi le maire refuse, illégalement, de communiquer la copie de l'acte de vente de l'hôtel Beaulauncourt comme le réclame le couple de lanceurs d'alerte Hérvé Abouadaou et Michel François, et comme leur ordonne la CADA, voir le document ci-dessous.




Pourquoi prendre le risque de se mettre hors-la-loi, sinon pour un enjeu important. Cet acte de vente serait-il une pièce à conviction déterminante dans une procédure judiciaire de faux en écriture publique ?

Tous les ingédients d'une sulfureuses affaires sont réunis et nous pouvons compter sur notre tandem de lanceurs d'alerte pour ne pas lacher prise.

À suivre...

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