Nous avons déjà évoqué à plusieurs reprises cette affaire aux multiples ramifications sur notre site (lire ici : article 1, article 2 et article 3).
Lors du dernier conseil municipal, le premier adjoint Pierre Emmanuel Gibson, a donné sa version sur les procédures engagées : expropriation et arrêté de péril contre la propriétaire du "Petit Sapeur". Des obligations non respectées en matière de logement et des mesures de sécurité publique.
Nous avons rencontré, à sa demande, Nelly Brassart, propriétaire actuel du "Petit Sapeur". Elle a souhaité rendre publique sa version des faits et son combat pour la vérité. Ce que nous faisons dans un souci de pluralisme (1), d'équité et afin de permettre aux "sans voix" de pouvoir s'exprimer et se défendre, dans une ville de plus en plus soumise à la loi du silence. Dans ce sens, il est évident que les propos et analyses développés dans la vidéo ci-dessous n'engagent que sa responsabilité et en aucun cas notre publication.
"IL Y A DES GENS QUI PAIENT ET D'AUTRES QUI ONT DROIT À DES ANNULATIONS"
Dans ses propos, Nelly Brassart évoque les barrières de protection mises en place par la municipalité, en face du "Petit Sapeur", et donc l'utilité lui semble à géométrie variable, puisqu'elles disparaissent en fonction des festivités municipales, notamment pour la traditionnelle braderie.
DES PROTECTIONS À GÉOMÉTRIE VARIABLE (Photos TdNM)
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