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BÉTHUNE : DE NOUVELLES ZONES D'OMBRES !


La mairie de Béthune est loin d’être une maison de verre. Lors de la dernière campagne des municipales, Jean-Pierre Chruszez s’en était fait l’écho.

Voir le vidéo ci-dessous :


Carton rouge de l'association de lutte contre la corruption ANTICOR pour l'opacité de la gestion municipale béthunoise, rapports sévères de la Chambre Régionale des Comptes sur l'insuffisance de l'informatiuon en matière financière des élus, saisine presque mensuelle de la CADA par les béthunois. Le dernier avatar est le refus, malgré le jugement favorable de la CADA de fournir à deux lanceurs d'alertes l'acte de vente de l'hôtel Beaulaincourt.



 

Un refus qui ouvre évidemment la boite à Pandore de la suspicion, notamment de faux en écriture publique. Faut-il porter plainte pour obtenir la transparence ?


 

On ne peut que se féliciter du combat mené pour deux citoyens béthunois pour obtenir la transparence sur cette affaire, où certaines décalrations de premier magistrat chiffonnent le nez, notamment ses justifications contradictoires sur les motifs de la venue du promoteur , bien connu dans le valenciennois et des élus de cette commune, proches de la députée béthunoise et du maire de Béthune.

HErvé Abouadaou et Michel François , deux lanceurs d'alertes

Deux lanceurs d'alertes, Michel FFrançois (ex-conseiller municipal sans étiquette) et Hervé Abouadaou, qui se substituent à une opposition municipale bien absente, à ce jour, sur ce dossier.


DE CHARYBDE EN SCYLLA



Le dernier conseil municipal illustre une nouvelle fois cette opacité dans les délibérations sounises aux conseillers municipaux. Le rachat par la ville de Béthune de l'école Victor Hugo au Conseil Régional des Hauts de France, est scandaleusement révélatrise de l'omerta qui règne en mairie sur les décisions de l'éxécutif.

La mise à dispostion de cette école par le conseil régional des Hauts de France, qui contre des investissements et le paiement d'un loyer devait rétrocéder le bien gratuitement à la ville en fin de convention, aux dires de l'ex-député-maire de la ville.

C'est contre une somme de prés de 300 000 € que la ville doit aujourhui payer pour en devenir propriétaire. Aucun bilan financier de la convention n'est fourni aux élus pour expliquer , entre autres cette somme.

Les services seraient-ils une nouvelle fois débordés, comme lors de la demande de l'ex-président de la commission des finances, Jean-Marc Dendievel, choqué par le volume de certaines dépenses de bouche, et à qui on avait refusé factures et explications.

Trop de travail dans le services, déjà à l'époque !


UNE OPPOSITION BIEN TIMIDE


Nous avons conscience des difficultés rencontrées par l'opposition pour exercer notamment son rôle de contrôle ou de critiques constructives. À l'omerta s'ajoute parfois le mépris, comme cela fut le cas hier envers Michel François, ou aujourd'hui envers la conseillère municipale novice, Brigitte Helle (EELV).


Mais ces élus nous semblent baisser un peu rapidement les bras, face à ce déni de démocratie. Ils disposent des moyens pour agir et dénoncer ces dérives.

Stéphane Saint André, est le nouveau président de la commission des finances, conformément au règlement intérieur. Ce poste est-il une pure mascarade ou dispose-t-il des moyens d'investigation.

Il faut qu'il prenne ses responsabilités et rende compte...

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