À Béthune, l’avocat Fiodor Rilov a précisé que les actions qu’il intente en justice contre le manufacturier japonais (lire nore article ici) n’auront aucune conséquence sur la reprise du site. Il invite par expériences les salariés à se méfier des « repreneurs miracles » . « On vous fera pas le même coup qu’aux Whirlpool. On leur a dit : Un miracle va se produire, un repreneur va arriver et vous allez tous garder vos emplois . Il n’a pas mis un kopeck, l’État et Whirlpool lui ont donné des millions, il a encaissé l’argent et on ne l’a plus revu : moins d’un an après, tous les salariés de Whirlpool ont été licenciés dans le cadre d’une faillite. [...] »
Et là, pas de discrimination, ils ont tous été virés avec des miettes.
Et de conclure : « On n’est pas contre une reprise, mais il faut absolument vérifier que le repreneur a un plan sérieux. »
CGT BRIDGESTONE : « RIEN À VOIR AVEC LES AFFRANCHIS »
La présence de militants CGT d’autres entreprises lors de la venue de Fiodor Rilov ce jeudi devant les grilles de l’usine Bridgestone de Béthune a agacé la section CGT du cru, membre de l’intersyndicale qui tente de négocier:
"Les meilleures conditions de départ possible avec la direction. "
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