Aprés le marché couivert "le Centr'Halle" c'est au tour du magasin bio "L’Art du vrac" qui fermera ses portes le 31 octobre dans l'indifférence de la municipalité !
Pour Corine Dorfin, 52 ans, la gérante les difficultés avaient commencé en 2017, d’abord pour se faire connaître : « Un parcours du combattant. » À l’époque, le vrac n’est pas si répandu qu’aujourd’hui. Mais après une année 2019 réussie, Corine espérait beaucoup de cette année 2020, constatant un changement des mentalités.
Malheureusement, la crise liée au coronavirus aura eu raison de ses dettes accumulées les années précédentes. Les étals se vident et les bocaux aussi.
Barlin une ville en route vers le desert commercial dans l'indifférence de l'éxécutif municipal ?
Des aides sont possibles pourtant et les initiatives municipales ne manquent pas comme nous l'évoquions récemment pour la municipalité de Divion... Ce que dénonce Rémy MAJORCZYK, Conseiller Municipal; Chef de file de l'opposition
"Les fermetures de commerces s'enchaînent à Barlin. Après la gabegie financière du Centr'Hall (marché couvert) qui a coûté près d'un million cinq cents milles euros à notre collectivité (les emprunts courent toujours...), ce sont les petits cellules locales qui connaissent le même sort.
Nous déplorons un manque d'implication de la majorité en place dans ces dossiers. Tout fut rose pendant la campagne électorale des municipales, en six mois de temps la situation a bien changée...
Nous condamnons les injustices dans les dépenses d'argent public en faveur des commerçants (certaines ou certains bénéficient de davantage de commandes de la municipalité alors que des promesses de campagne avait été faites en assurant un volonté de dépenser tantôt chez l'un tantôt chez l'autre : j'en prend pour exemple les fleuristes)."
Barlin est la dernière ville du Pas-de-Calais où subsiste un népostisme nauséabond éthiquement, et qui se double de plus d'une incompétence crasse. Bravo à l'opposition municipal et à Rémy pour combattre ce communautarisme féodal décadent