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VERQUIN : QUI EST DANS LE « VISEUR ULTRACRÉPIDARIANISTE » DE THIERRY TASSEZ ?

Dernière mise à jour : 23 janv. 2021




L’épidémie du Covid, depuis une année, nous inflige par médias interposés, une soupe indigeste de commentaires par des experts de tous bords, dont on ignore souvent la légitimité à s’exprimer, à donner leur avis sur le sujet. Produits avec assurance par nombre de non-spécialistes, prodigues en opinions et injonctions.


L'ART DE PARLER DE CE QU'ON NE CONNAÎT PAS


C’est ce qu’on dénomme l’ultracrépidarianisme. Ce comportement qui consiste à donner son avis sur des sujets à propos desquels on n’a pas de compétence crédible ou démontrée, et qui dépasse largement le cadre particulier du coronavirus. Ce mot est dérivé de la locution latine Sutor, ne supra crepidam, qui signifie littéralement : « Cordonnier, pas plus haut que la chaussure », et équivaut à l’expression moderne « à chacun son métier, les vaches seront bien gardées ».

Une 'idéologie que l'information continue et de ses "toutologues" professionnels ont su imposer. Une première tentative de francisation du phénomène, l'info poubelle, n'a pas rencontré le succès malgré l'importance et le volume des données.




FIDÉLITÉ À LA PAROLE DONNÉE ET LOYAUTÉ...


Dans ses vœux originaux, comme a l'accoutumé, le maire de Verquin a encore surpris cette année malgré le format vidéo de cette cérémonie . Voir si dessous :


Au-delà d'une riche perspective en termes de développement de la commune, Thierry Tassez, place l'année 2021 sous le signe des valeurs universelles de la solidarité et de la laïcité. Mais aussi, plus spécifiquement de la fidélité à la parole donnée et de loyauté.

Il sait par expérience, avec les trahisons qui ont marquées l'élection du président de l'agglo Béthune-Bruay, de quoi il parle. Pas comme ces pseudo experts champions de l’ultracrépidarianisme, qu'il dénonce et veut combattre.


L'ART DE PARLER POUR NE RIEN DIRE



Il y a en ce qui nous concerne, aussi, une mutation locale du virus de l’ultracrépidarianisme : "parler de ce qu'on ne connait pas", "en parler pour ne rien dire". Un ultracrépidarianisme béthunois qu'incarne le premier magistrat, qui s'exprime sur tout certes, mais toujours pour ne rien dire.


Une aggravation de la maladie ? Ou une atténuation ? On vous laisse la liberté du choix.


178 vues1 commentaire

1 則留言


Hervé Bavencoffe
Hervé Bavencoffe
2021年1月18日

la maladie professionnelle des hommes politiques en particulier : l'ultracrépidarianisme .

Mot difficile à déchiffrer . Il s'agit de parler pour ne rien dire


En 1998, j'ai eu le plaisir de rencontrer l'écrivain et poète portugais José Saramago, prix Nobel de littérature , il était venu à la maison des écrivains Marguerite Yourcenar .

Il avait fait un exposé brillant .

A ce propos entr'autres , justement il disait :, ceux qui parlent beaucoup, c'est parce que ils n'ont rien à dire .


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