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RECOUVREMENT DE LA DETTE DE BRIDGESTONE : COMME UN PARFUN DE LAXISME DE CONNIVENCE ?


C'est Stéphane Saint André, ex-député maire de Béthune qui a, d'entrée de jeu, posé la question qui fâche : où en était-on du remboursement de la dette dé Bridgestone à l'agglo de Béthune-Bruay ?



Le président s'en inquiète auprés d'une collaboratrice, qui explique que l'agglo s'engage dans un contentieux qui risque de durer. L'institution a bien émis un titre pour récupérer les 1,2 millions d'argent publicde subvention perçues à tord. Ce que conteste évidemment Bridgestone. L'agglo a donc saisi un cabinet d'avocats parisiens, et des tonnes de mémoires sont en préparation... Un dossier prendrait-il le chemin de l'enterrement.

L'agglo traite pourtant bien plus éfficacement le recouvrement de certains de ses titres de recettes, comme en menaçant de couper l'eau en cas d'impayé.

De poids deux mesures, c'est ce qu'on pourrait penser à écouter les qualificatifs envers le directeur de l'usine de STELLANTIS-PSA de Douvrin, dont le groupe envisageait de délocaliser la production ses moteurs électiques en Hongrie (ce sera finalement à Douvrin).

On aurait aimé la même fermeté envers son homologue de Bridgestone de la part du président de l'agglo, qui visiblement sélectionne ses victimes. Il est vrai que ce dernier co-présidait (ou préside encore) avec lui la couteuse association du Grand'Béthune. Où nos deux hommes discutaient du développement du territoire. Sans aborder le sujet de la fermeture de l'usine nippone ?

Comme nous l'annoncions, cette recette ne figure donc pas au budget primitif 2021 de l'agglo Béthune-Bruay, qui, aux dires du président, et complétement dans le brouillard et manque de visibilité !

On navigue donc à vue... et les contribuables, malgré les apparences, vont trinquer. Quid de la responsabilité des élus dans la gestion de cette affaire qui n'a rien d'un poisson d'avril...

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