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Photo du rédacteurTERRES DU NORD MATIN

QUAND LES ÉLUS MEPRISENT LES AGENTS TERRITORIAUX !


ILLUSTRATION TDNM



Le 1er décembre, c'est la Saint Éloi. Une fête pour de nombreuses professions qui à l'origine manipulaient le marteau, mais qui dans les Hauts de France est devenue une tradition dans les collectivités territoriales.


Une tradition qui permettait aux élus de rencontrer les agents dans un moment de convivialité et d'échanger en dehors des circuits hierarchiques habituels souvent slérosants. Il va de soi et c'est un postulat d'origine, qu'une telle manifestation ne peut se dérouler dans un climat social délétère. Est-ce le motif de sa suppression, comme c'est le cas notamment à l'agglo Béthune-Bruay ?


Une supression qui resonne comme du mépris auprés des agents, et même la CGT de l'agglo, qui encore récemment chantait les louanges du président (Lire ICI), semble de nouveau retrouver un peu de lucidité...



IL N'Y A QUE LES CONS QUI NE CHANGENT PAS D'IDÉES


Nous vous avions fait part du conflit qui oppose depuis le début de l'année 2022 les aides-soignantes au président du Sivom du Béthunois, qui refuse de reverser la prime "Grand Age" décidé par le gouvernement aux aides-soignantes.


Au motif que celles-ci etaient intégrées dans un nouveau cadre d'emploi, non repris dans le decret instituant cette prime Une justification rejettée par la ministre elle-même. (Lire ICI). Une clarification qui devait normalement se traduire par une régularisation financière. Sauf que Pierre Emmanuel Gibson s'entête comme le denonce un courrier adréssé à tous les délégués syndicaux qui siègent au Sivom du Béthunois par le syndicat FO :



Même désavoué, le président du Sivom du Béthunois persiste et signe confirmant ce que chacun savait déjà :" il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis !".


Notons que toutes les structures territoriales confrontées à cette situation ont payé la prime aux agents concernés...


LE MÉPRIS : LA POLITIQUE DU CLAN BÉTHUNOIS


Il a un point commun entre tous ces climats sociaux délétères un homme : Olivier Gacquerre ou son porte serviette, qui a trahi son parti pour une assiette de lentilles.


La souffrance au travail des agents des collectivités territoriales gérées par le clan béthunois est réelle : un absentéisme qui explose, des arrêts maladie en progression exponentielle, un malaise quotidien...


Souvenez-vous la qualification de "carnaval" par Pierre Emmanuel Gibson d'une manifestation syndicale. Cet élu serait vice-président départemental des Républicains ! On comprend mieux son éffondrement à Béthune...

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