BETHUNOIS-BRUAYSIS : LA MACHINE MYSTIFICATRICE A L'INTOX FINANCIERE EN ROUTE !

LA MACHINE A INTOX EST EN ROUTE

Pour l'agglo Béthune-Bruay ou le Sivom du Béthunois les situations financières sont loin d'être glorieuses pour les mêmes raisons : l'héritage catastrophique de la gestion d'Olivier Gacquerre au Sivom du Béthunois et la dilapidation de l'héritage de la bonne gestion d'Alain Wacheux, ex-président de l'agglo, par le même Olivier Gacquerre. Les mêmes causes creent les même effets vous diraient Mister Einstein. Alors pourquoi continuer à faire les mêmes choses?

Le tandem Gacquerre- Gibson a "géré" sur le mode "cigale" et se trouve aujourd'hui dépourvu pour équilibrer les budgets. D'autant plus consternant que l'agglo a, entre autres, instauré une nouvelle taxe GEMAPI (générant 11 millions de nouvelles recettes). Ou les coûts des prestations en hausse au Sivom du Béthunois, qui n'est plus concurrentiel. Il est devenu la négation même de l'intercommunalité de services.

Un échec aussi des plus révoltants pour l'agglo Béthune-Bruay qui ne remplit pas ses missions régaliennes de développement, comme le dénoncent sévèrement les magistrats financiers de la Chambre Régional des Comptes des Hauts de France.

Nos deux apprentis gestionnaires, à savoir l'expert carnavaleux Gacquerre et le "couteau suisse de la connerie municipale" Pierre Emmanuel Gibson, vont bien sûr rejetter la responsabilité de ces banqueroutes financières sur la Covid, la guerre en Ukraine, l'inflation, l'explosion du coût de l'emergie, voire pour PEG, sur Jacques Mellick ! Certes ces facteurs ne facilitent pas la tache des vrais gestionnaires, mais pour nos deux structures ce sont les arbres qui cachent l'immobiliste agité, des actions hors sols discutables (500 000 euros pour chauffer la piscine découvert de Bruay-Labuissière, en plein hiver!), voire l'incompétence.

Les deux présidents entament donc la danse des lamentations pour s'exonerer de toutes responsabilités, et faire avaler la pilule de décisions iniques aux délégués des communes, que l'on mystifie à gogo. Au Sivom du Béthunois, exangue financièrement, le président cherche à spolier les communes de la nouvelle compensation de la suppression de la taxe d'habitation (pour l'intercommunalité) décidé recemment par le gouvernement. À l'agglo on evoque une réduction des prestations de services publics, comme la suppression des conservatoires de musiques ou la non ouverture du Centre Régional des Arts Martiaux. Etc.

La machine à intox est en route. Espétons que les délégués vont enfin comprendre qu'ils sont mystifiés...