NOUVEAU COUAC AU SIVOM DU BÉTHUNOIS : RÉGIME "PATATES" DANS UNE EPHAD

LA PATATE REINE DES MENUS DU SIVOM DU BÉTHUNOIS (TdNM)

Le Sivom du Béthunois va-t-il bientôt changer de slogan ? Celui qui lui est attribué par ses usagers et autres utilisateurs est significatif : " C'est la faute à pas de chance". Les couacs se succèdent dans tous les domaines, les coûts des services explosent, et ne sont plus concurrentiels par rapport aux prestations identiques des entreprises privées (la négation des objectifs fondant sa création), mais tout va très bien pour l'armée de vice-présidents, chichement rémunérés pour certains, avec des délégations "bidon". Faut bien se payer une majorité. C'est le système Gacquerre…

MENUS PATATES DU SIVOM DU BÉTHUNOIS (TdNM)

Le dernier avatar de cette dérive dans le gaspillage d'argent public, est la quasi maltraitance alimentaire dans les EPHAD du Sivom du Béthunois, que nous dénonçons récurremment, comme récemment à la maison de retraite médicalisée Marie Curie, où les résidents ont été soumis au régime "PATATES".

---

Cette semaine la patate a été présente à la quasi totalité des repas : midi ou soir. Pour donner la frite aux résidents ? Un couac regrettable nous ditons.

---

Certaines familles ont tenté de joindre le vice-président en "charge des usagers" : Hakim Elazouzi. Injoignable. il est en campagne des législatives. Il sert à quoi nous confie un fils dont le père est en résidence ? C'est quoi cette délégation bidon ?

Un problème de stock chuchote-t-on dans les couloirs de la direction. C'est vrai que la situation doit être complexe avec la multitude des acteurs en présence: ils sont deux ! La diététicienne et le directeur de la cuisine centrale... Faudrait peut-être signée une convention inédite de partenariat ?

---

Il y a un indicateur qui ne trompe pas : pourquoi les agents des maisons de retraite refusent de manger les repas destinés aux résidents ?

---

Plus inquiétant, on évoque sous couvert d'anonymat, que les maisons de retraite du Sivom du Béthunois seraient déficitaires, malgré les prises en charges, notamment des frais de personnels, par l'État. Une baisse scandaleuse des participations de l'État, comme le dénonçaient, il y a peu, les organisations syndicales, mais démentie par le Président de la structure.

Y aurait-il une répercussion trop importante des colossaux frais de structure (qui comprennent les indemnités de la pléthore d'élus …) sur ces établissements ?

Régime "patates" des résidents pour permettre aux élus de festoyer ?

Quand aura-t-on enfin la transparence sur la gestion de cette structure qui ne répond plus à sa mission originelle?