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LES CRITIQUES DE LA CRC SUR LA GESTION DE L'AGGLO. ACTE III : UNE INSTRUMENTALISATION POLITIQUE






Le président claironne, à qui veut bien l'entendre, qu'il ne fait pas de politique, comme les fous (et ils sont les seuls à le dire) affirment qu'ils ne sont pas fous. Ce que son comportement ou l'utilisation de l'institution démentent ouvertement


11 postes au service communication.


La CRC prend bien soit de le préciser. Du jamais vu. Soit, rien qu'en frais de personnel, entre 1,5 à 2 millions d'euros. Nous avions à ce sujet été interpellé par le recrutement d'un journaliste de notre hebdo local, comme la mairie de Béthune l'avait réalisé auparavant. Cela ne peut pas nuire aux bonnes relations et les faciliter même ! Un technique politique bien connue .



Un service communication rattaché "illégalement" au cabinet du maire


Il existe une abondante jurisprudence sur le sujet : les services communication des collectivités, sont des services administratifs en charge de la communication institutionnelle et non politique du maire ou du président.


Dans ce sens, ils doivent être rattachés à la Direction Générale des Services et non au cabinet du maire ou du président. La CRC exige cette modification organisationnelle qui en dit long sur la volonté du Président d'utiliser l'institution à des fins politiciennes.


FAIRE BARRAGE AU FN


Un président d'agglomération se doit à la neutralité. Or, Olivier Gacquerre comme président de l'agglo Béthune-Bruay appelle à voter contre la candidate du Rassemblement National Caroline Parmentier, qui constitue pour lui un risque pour la gestion de l'EPCI.



Capture d'écran (TdNM)


 


La question se pose sérieusement : Olivier Gacquerre peut-il rester président de l'agglo Béthune-Bruay ? Les propos du président actuel contre les élus du Rassemblement National en général, et de la candidate, désormais élue députée, Corinne Parmentier, pose la question de sa capacité à conduire un projet de développement. Un projet de territoire, sans Bruay-la-Buissière entre autre, serait ridicule. Un président "sans bras" désormais à la légitimité de plus en plus réduite aux délégués amateurs d'assiettes de lentilles.


 

Un constat que partage le maire de Saint Venant André Flajolet, ou Jacques Mellick, ancien ministre.

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