LE MAIRE DE BÉTHUNE VEUT TRANSFORMER LA PLACE RABIN EN MUR DES LAMENTATIONS !

Dès qu'élu maire de Bruay-la-Buissière, Ludovic Pajot (RN) tient des permanences lors des marchés hebdomadaires de sa commune. Un succès permanent. Une initiative qui inspire d'autres élus , comme la maire de Béthune

DISTRIBUTION DE COLIS ALIMENTAIRE A LA MOSQUEE FONDAMENTALISTE DE BÉTHUNE

Ce dernier a bien du mal à mobiliser les béthunois à venir le voir. Il a tout essayé, les pots aux coins des rues ou dans un bus, le soir, le matin, etc(1). Même une journée de la bienveillance avec la mosquée de Béthune; proche des "Frères Musulmans".

À part quelques affidés réquisitionnés pour la circonstance, pas un chien...

Aussi, à la moitié de son troisième mandat, il décide de copier la méthode bruaysienne et tiendra désormais une permanence, place Rabin, lors du marche du lundi de la commune. Il veut transformer la place Rabin en mur des lamentations !

Une place qui attend désespérément la statue de Simone Weil, installée par la volonté du maire à proximité de la mosquée de Béthune. Une provocation ? La mosquée de Béthune soutient le Hamas palestinien, branche armée des Frères Musulman contre Israël !

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LA DÉMOCRATIE FOLKLORE

Espérons que sa permanence ne se transforme pas en jeu de massacre ! N'oublions l'addiction de l'occupant actuel de l'hôtel de ville béthunois à la politique spectacle...

Le règlement municipal concernant les marchés interdit la distribution de tracts et encore plus des stands politiques sur les marchés. La place Rabin est donc hors marché. (c'est déjà là, du moins à proximité du marché, que stationnait irrégulièrement le bus de Xavier Bertrand lors des dernières élections régionales ! les lois ne sont pas faites pour ceux qui les font, c'est bien connu)

De quoi donner l'idée à la nouvelle députée Coralie Parmentier (RN), qui veut faire de la proximité avec les habitants de son circonscription une priorité, de tenir également sur cette place sa permanence de parlementaire .

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(1) Pas un Béthunois ne changera de trottoirs pour venir le saluer, sinon quelques complices embrigadés pour donner l'illusion. On est loin des regroupements populaires autour de Jacques Mellick à chacune de ses sorties pédestres. Pédestre et non en trottinette électrique comme Olivier Gacquerre ! La démocratie folklorique on vous dit !