Les plus beaux combats d'arts martiaux du monde
Mettons de côté le lamentable règlement de compte politique qui a pris en otage le Centre Régional d'Arts Martiaux (CRAM). Un projet porté par le vice-président aux sports de l'agglo lors du mandat précédent, Thierry Tassez, maire de Verquin où est construit l'équipement, fortement subventionné. Un maire qui s'est présenté à l'élection de la présidence de l'agglo contre Olivier Gacquerre, qui n'a pu être élu que par de multiples trahisons à l'odeur de plat de lentilles, et son lot nauséabond de magouilles. Le président de l'agglo dans une premier temps a voulu stopper, en vain, la construction du CRAM, comme à Béthune pour la patinoire ou la halle sur la Grand Place, avec d'énormes conséquences financières pour la commune et engendrant un coûteux déséquilibre financier dans le cadre de la gestion du parking souterrain. Conduisant à un contentieux que la ville perdra vraisemblablement par son incompétence (dossier géré par l'inénarrable Pierre-Emmanuel Gibson) Olivier Gacquerre, petit comptable, a décidé de réduire la voilure du centre, pour cause de coût de fonctionnement, avant même son ouverture. Il veut y installer le Futsal de Béthune, pour faire prendre en charge par l'agglo les frais inhérents à ce club. Grossière manipulation car le coût de fonctionnement du Centre est ridicule au regard du déficit, ne serait-ce, que du centre Aquatique de Béthune (transféré à l'agglo).
Dans ce sens, l'agglo a entrepris la modification du permis de construire, dénaturant le projet (1), ce qui a a coûté plusieurs centaines de milliers d’euros. Jamais le porteur du projet et meilleur connaisseur du dossier, Thierry Tassez n’a été consulté. Aucune mention, même pas dans le projet arlésienne de territoire !
Plus d'une communauté d'agglomération des Hauts de France, voire de France, rêverait de disposer d'un tel équipement surtout dans le contexte des jeux olympiques de 2024. Un outil puissant pour l'attractivité d'un territoire et pour son développement. Ce que nous confie le président de la communauté d'agglomération voisine.
Tous les efforts en termes d'animations et de communication auraient été focalisés sur ces évènements. Venus d'athlètes internationaux des différentes disciplines d'arts martiaux (notamment ukrainiens). Nous avons des champions du monde français (2) ! Démonstrations ludiques et organisation de compétitions. Festival du film d'arts martiaux. Etc.
Mais le président de l'agglo a choisi de chauffer une piscine découverte en hiver, subventionner l'achat de vélos, de singer le concours des masters-chefs, et d'organiser des fêtes de patronage dans les piscines intercommunales ou des guinguettes ridicules. La ville de Béthune lui doit aussi, le toboggan aquatique et le concours de domino de palettes. La liste n'est pas exhaustive, vous confirmeront les plus en plus nombreux lecteurs de notre site. Une conception du développement qui a fait grincer des dents les magistrats financiers de la Cour des Comptes des Hauts de France. Pour eux l'agglo "marche sur la tête" (vide de son président ?). L'agglo de Béthune- Bruay est devenue la risée dans l'univers de l'intercommunalité de développement ... et même de services.
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