La ministre Agnès Pannier-Runacher, a la frite ! Une future députée ou maire du Pas-de-Calais ?
Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée auprès du ministre de l'Économie, des Finances et de la Relance chargée de l'industrie s'est rendue récemment dans l'usine McCain de Béthune, pour annoncer une bonne nouvelle : le producteur de frites surgelées McCain va investir 17 millions d’euros !
Notre lensoise, qui vit désormais avec son compagnon l'ex-député de la douzième circonscription législative du Pas-de-Calais( celle de Jean-Pierre Kucheida hier, et de Bruno Bilde, Rassemblement National, aujourd'hui) : Nicolas Bays, a également tenu une conférence de presse pour faire un point sur la reconvertion du site de l'ex-usine nippone Bridgestone, et surtout sur la reconversion de ses employés.
"PANNIERMANIA"
Pour beaucoup de politiques, les échéances électorales passées, un morceau avalé n'a plus de goût, et chacun poursuit ses petits objectifs de carrière politiciens. Xavier Bertrand, le président des Hauts de France fait sa campagne des présidentielles, sans grands succés d'ailleurs, et le maire de Béthune est totalement absorbé par son programme d'animations municipales, ou à la préparation de son concours culinaire et communautaire : le « Défi des chefs »
Agnès Pannier-Runacher, par contre, respecte sa parole et poursuit le combat pour la défense de notre territoire, de ses habitants en général et des salariés de Bridgestone en particulier.
Un engagement, et nous avons pu le constater, qui crée logiquement un courant de sympathie, certes dans le monde syndical mais aussi au-delà. Son comportement responsable crédibilise de nouveau la parole publique, qui localement en a bien besoin.
Va-t-on assister à la naissance d'une "Panniermania"?
Notre territoire a besoin d'hommes ou de femmes politiques d'envergure.
Beaucoup de nos concitoyens souhaitent que Madame le Ministre poursuive son enracinement local, d'autant plus qu'elle peut compter sur son béthunois de compagnon qui connaît parfaitement le territoire. Un territoire qui a besoin d'élus d'envergure depuis le départ de Jacques Mellick, ou d'André Flajolet.
Un constat évident est largement partagé.
Son déclin, comme celui de la cité de Buridan, n'est pas une fatalité, mais la conséquence d'une réelle carence de volonté politique.
C’est sur il faut qu’elle poursuive son enracinement, car pour le moment elle est inconnue et tout le monde s’en fout . La preuve : 75 vues en 4 jours sur cet article. Bon dimanche à tous.
C’est sur il faut qu’elle poursuive son enracinement, car pour le moment elle est inconnue et tout le monde s’en fout . La preuve : 75 vues en 4 jours sur cet article. Bon dimanche à tous.