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LA FRANCE INSOUMISE SELON LAURENT AZOULAI

Dernière mise à jour : 11 mai 2022


LAURENT AZOULAI Membre fondateur de la Fondation Jean-Jaurès et membre du Conseil d’administration depuis sa création en 1992, Chef d’entreprise et président de la société de conseil 4A International depuis 1995






Laurent Azoulai et Boris Venon, deux membres du PS, ont annoncé démissionner de leurs postes au sein du parti car opposés à toute discussion avec la France insoumise en vue des élections législatives.


Au parti à la rose, quelques pétales s'en vont. Alors que les tractations entre la France insoumise et le Parti socialiste pour les législatives vont commencer mercredi, certains élus socialistes font savoir leur désaccord à cette initiative.

Ce mardi soir, le premier secrétaire fédéral des Yvelines Boris Venon - partisan de la ligne d'Olivier Faure - annonce sa démission. "Je ne puis me résoudre à porter cette stratégie de tentative d’accord avec la gauche radicale qui va à l’encontre de mes valeurs et de ce que je porte politiquement depuis des années", écrit-il dans sa lettre de démission. Un texte qui devrait être publié dans les boucles internes du parti d’ici ce mardi soir.


Dans cette même lettre, Boris Venon met en avant plusieurs points de désaccords irréconciliables, selon lui, entre socialistes et insoumis, comme la laïcité et la question européenne.


"L'insoumission est un terme insupportable"


Il s'agit de la deuxième démission d'un représentant du parti depuis la tenue du conseil national, le 19 avril dernier. Au lendemain de celui-ci, Laurent Azoulai a adressé une longue lettre à Olivier Faure pour lui annoncer sa démission du parti.



Un courrier dans lequel il indique que la décision prise par le Conseil national du Parti socialiste de voter une résolution en faveur d'une discussion avec l'ensemble des partis de gauche - dont la France insoumise - le "conduit à démissionner du PS après 48 années de bons et loyaux services".

"L’insoumission est un terme insupportable en ce qu’il signifie ne pas respecter ni la loi de la démocratie, ni les lois de la République (…) Pour moi, les dirigeants de ce parti ne sont plus des concurrents, voire des adversaires, voire pire!", peut-on également lire, dans cette lettre que nous avons pu consulter BFMTV.



Extrait de la lettre de démission de Laurent Azoulai. Ci-dessous le passage qui décrit le parti de Melanchon :




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