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MENACES IGNOBLE ET CLIENTÉLISME DOUTEUX DU PRÉSIDENT DE L'UDI. À BÉTHUNE AUSSI ?

Dernière mise à jour : 23 nov. 2021

Dans une triste séquence en direct sur le service public Jean-Christophe Lagarde est parti très loin dans l’ignominie. Le Point sur sa chaine YouTube fait une synthèse de cette triste affaire, dans le vidéo ci-dessous :





LA DÉCLARATION DE PRÉSIDENT DE L'UDI SUR FRANCE INFO




Quelques heures plus tard, le député de la 5e circonscription de Seine-Saint-Denis, a présenté ses excuses sur Twitter, affirmant que "la violence doit toujours être bannie du débat politique".





FRANCE INFO RETIRE LA VIDÉO


De son côté, France Info qui avait initialement diffusé cet extrait dans un Tweet a finalement indiqué sur Twitter avoir décidé de "ne pas rediffuser" ces propos qui "ne correspondent ni à nos valeurs ni à l'idée que nous nous faisons du débat politique".



Un «mea culpa» que n'a pas accepté par le polémiste qui a réagi par voie de communiqué.



"Cher Jean-Christophe,

Ce matin, sur France Info, tu as affirmé que, si Charles Pasqua était encore vivant, il me « filerait une balle dans la tête. » Quelques instants plus tard, devant la polémique qui commençait à prendre, tu as émis des regrets en pleurnichant sur les réseaux sociaux. Un mélange de Belattar et de Bisounours : un vrai centriste. Permets-moi de te rafraîchir un peu la mémoire. Je te connais depuis si longtemps ! Comme je le relate dans « La France n’a pas dit son dernier mot », tu m’as confié un jour : « Tu vois, je ne suis pas souvent d’accord avec toi, mais je dois reconnaître que tu avais vu juste. La sœur Traoré a déclenché la guerre civile! » On voit combien la différence entre ton image publique et tes propos de table relève de la duplicité, de la lâcheté et du cynisme. Je plains amèrement tes électeurs et tes militants, ou ce qu’il en reste.

Par ailleurs, dans son livre « Le maire et les barbares » (1), la journaliste Ève Sfetzel t’accuse d’avoir, en tant qu’élu de la République, signé un double pacte avec l’islam et le grand banditisme. Si elle dit vrai, je plains plus amèrement encore tes administrés : tous ceux qui, via l’impôt, te rémunèrent pour te voir collaborer à l’islamisation de ta ville.

En mars 2021, alertée par ta propre famille, la police prenait d’assaut ton domicile et y découvrait nombre d’armes à feu, ce qui te valut une garde à vue en bonne et due forme. Cette information fait étrangement écho avec tes menaces de ce matin. Depuis des mois, je suis probablement l’homme le plus menacé de mort de France. Je m’y suis fait. De toutes les racailles qui me prennent pour cible, tu n’es certainement pas la plus dangereuse, mais incontestablement la plus traîtresse. Quant à moi, malgré ton « Mea Culpa » de pacotille, je ne t’excuse pas. D’abord, parce qu’en présentant Charles Pasqua comme mon ennemi, tu portes atteinte au profond respect et à la sincère amitié que j’ai voués à cet homme unique, une des personnalités les plus intéressantes, les plus attachantes et les plus authentiquement françaises qu’il m’ait été donné de côtoyer. Ensuite, parce qu’en me menaçant de mort par cet ami interposé, tu ajoutes l’abjection à la falsification, la perversité au bobard.

Enfin, je ne te pardonne pas d’avoir fait de Drancy, la ville de mon enfance, cette enclave étrangère que les Français ont découvert avec stupeur lors de mon passage chez Morandini. Je te laisse donc à ta juste place politique : au centre du néant.

Bon vent !"








UNE CONDAMNATION GÉNÉRALE


Des personnalités politiques ont réagi à cet échange. C'est le cas du député LR des Alpes-Maritimes, Eric Ciotti, qui a qualifié les propos de Jean-Christophe Lagarde de "monstrueux" : "une déclaration d'une violence inouïe qui mérite des sanctions exemplaires".




Mais aussi Isabelle Balkany





Malgré la polémique, Éric Zemmour ne devrait pas porter plainte contre Jean-Christophe Lagarde.


PAS DE RÉACTION DU PRÉSIDENT DÉPARTEMENTAL DE L'UDI DU PAS-DE-CALAIS




lui faire casser la gueule par ses amis du Mont Liebaut".

C'est légitime vous diront tous les apparatchiks de tous bords, mais ce sont ces renoncements qui accumulés finissent par discréditer la classe politique, et créent la défiance des citoyens envers leurs élus.

QUE SE RESSEMBLE S'ASSEMBLE ?

Toutes choses gardées, le maire de Béthune n'hésite pas, lui aussi, à utiliser la menace, comme il l'a fait envers Jean-Pierre Chruszez, de "lui faire casser la gueule par ses amis du Mont Liebaut".

Une menace qui a fait l'objet du dépôt d'une main courante, au commissariat de Béthune.


(1)




Il serait aussi pertinent de mettre à plat à Béthune le montant des subventions attribuées aux associations dont certaines n'ont même pas été invitées à la "grand messe" organisée par le maire. Pourquoi ?


D'autant plus que les présidents de certaines associations bien dotées, comme celle pointée au Mont Liébaut, ont ouvertement fait campagne pour le maire de Béthune lors des dernières élections municipales !

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