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INSÉCURITÉ À LA GARE : LA MAJORITÉ MUNICIPALE SE BOUGE UN PEU... POUR FAIRE SEMBLANT !


LA LIGNE JEUNE DE L'ÉTHIQUE SOUVENT VIOLÉE À BÉTHUNE




C'est le troisième mandat d'Olivier Gacquerre, et nous dénonçons depuis des années l'insécurité qui règne, dans la ville et dans la quartier de la gare, en particulier. En vain. Certes une cinquantaine de caméras de vidéo surveillance ont été installées, sans aucun impact, d'ailleurs, sur les incivilités et autres violences, qui s'y déroulent sous leurs regards aveugles. Aujourd'hui Olivier Gacquerre nous sort un nouveau lapin de son chapeau (bien abimé) de magicien pour conjurer les accusations d'immobilisme et de ras bol des béthunois dans le domaine de la sécurité


Chacun connaît la célèbre déclaration de Georges Clemenceau : « Quand on veut enterrer une affaire, on crée une commission. ». À Béthune le maire, qui adore le copier-coller, malheureusement souvent maladroitement, lorsqu'il veut donner l'illusion qu'il se préoccupe d'un sujet, il signe une convention. Par charité chrétienne nous n'évoquerons la pompeusement ridicule commission municipale de veille sécuritaire. Le premier magistrat affirmant : "les béthunois peuvent dormir tranquilles ! "



On a déjà eu droit à une convention de coordination entre police nationale et municipale, aujourd'hui c'est une convention entre la ville et la SNCF. Les policiers municipaux vont pouvoir pénétrer dans la gare, et même dans les trains à l'arrêt !


Le problème, c'est que les incivilités et autres troubles à l'ordre public se déroulent à l'extérieur de la gare ... Demander un peu aux commerçants du quartier. Plus qu'une convention, c'est le retour à la réalité que souhaitent les béthunois. La réponse, aux risques de nous répéter, se trouve, en partie, dans la police de proximité et non dans la singerie de la police nationale, à la sauce Gibson-Gacquerre.


Encore du pipeau ! On va demander à la nouvelle député Coraline Parmentier (RN) de se saisir du problème comme elle vient déjà de le réaliser pour les lanceurs de missiles de la prison.


À titre anecdotique, Hakim El Azouzi, le candidat malheureux du maire (un sacré coup de pied au C..) à la récente élection législative(1) !), qui incarne désormais le rejet des "Balkany béthunois" (2), avait proposé pour résoudre ce problème, de signer une convention entre la ville et l'établissement pénitencier, pour permettre aux policiers municipaux de surveiller la prison !


La politique spectacle médiatisée va-t-elle vivre ses derniers épisodes ?


(1) Hakim El Azouzi avec son mentor continuent de faire campagne. Ils ont allumé un cierge à la mosquée pour obtenir la dissolution de l'Assemblée Nationale par le Président de la République.


(2) C'est la dénomination donnée par certains "Les Républicains" locaux à Amel et Olivier Gacquerre.

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