Y en a marre ! Après la défiguration du Monument aux Morts place du 73-ème, notamment par l'abattage imbécile de ses arbres qui en faisaient son originalité urbanistique, comme pour le monument des 73e, 27e et 6e Régiment d'infanterie place Lamartine.
Ou encore plus récemment la démolition du collège pour fille rue Berthelot, la démolition est le principe fondateur de la politique de protection du patrimoine de la majorité municipale béthunoise.
Aujourd'hui dans le viseur de la municipalité, une autre institution béthunoise : le café-restaurant-hôtel, "Le Petit Sapeur". Beaucoup de Béthunois mais aussi de nombreux habitants des communes voisine ont un pincement au cœur à sa simple évocation.
À LA RECHERCHE DE LA TRANSPARENCE
Procédure d'expropriation, arrêté de péril sont en cours, pour faire entrer ce bien immobilier dans le giron municipal, dans une sulfureuse odeur de règlement de compte, voire affairiste… Des procédures d'ailleurs contestées devant les tribunaux.
Nous avons avons cherché à comprendre au-delà des justifications officielles de la municipalité béthunoise. Qui n'est pas avare pour gaspiller l'argent des contribuables dans des procédures contentieuses.
Nous avons rencontré la propriétaire actuelle du "Petit Sapeur", Nelly Brassart, qui avec ténacité tient tête aux démolisseurs municipaux. Un entretien explosif quant aux éléments du dossier, qui, à son avis, contient des faits "d'escroquerie" pouvant conduire à la case prison.
À suivre : (II) UN IMBROGLIO ADMINISTRATIF SUSPECT
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