On constate, quand il y a des travaux, que circuler à Béthune est un véritable calvaire. On pardonne, tout en maudisant le "connard" qui programme les travaux. Il ne doit pas être tout seul, compte tenu de la multiplicité des acteurs qui interviennent, et qui s'ignorent royalement. Quant au responsable de la signalisation des déviations en cas de travaux, il nous faut constater avec fureur sa crasse incompétence !
La programmation des travaux routiers et surtout leur coordination suscitent bien est des interrogations sur leurs efficacités, dans la cité de Buridan. C'est la permanence des problèmes qui finit par irriter fortement. Certes, les automobilistes, mais aussi les piétons, qui peinent à passer même sur les passages cloutés.
Mais pourquoi cela continue-t-il quand ce n'est plus le cas ? Cela bloque à tous les ronds-points, qui devraient fluidifier la circulation automobile. Du moins c'est ce que nous expliquent les ingénieurs des Ponts et Chaussées ou autres ingénieurs des TPE.
Quant aux feux tricolores ils ignorent totalement la densité du trafic et sont complétement déconnectés des flux réels. Aucune adaptation. C'est à croire qu'ils sont gérés par le Sivom du Béthunois. Pourtant, ces bouchons ont lieu, semble-t-il, à des plages horaires bien identifiées. Et il existe des systèmes d'une redoutable efficacité pour résoudre intelligemment ce type de problème. De plus, comme dit l'autre, qui est loin d'être un con, Le maire et son épouse sont SMART-CITY !
(NDLR : "Il va sans dire que ces propos vont provoquer un article en réaction décalée, d'ici quelques semaine, à la gloire et compétence du Sivom du Béthunois dans sa gestion remarquable des feux tricolores. La presse locale va nous expliquer que nous n'avons rien compris, que cela est beaucoup plus complexe, etc. Sans doute !)
Par contre, il est aussi inquiétant de constater l'absence de la police municipale aux heures d'embouteillage. En particulier lors du déjeuner. Les policiers municipaux auraient-ils également reçu une indemnité mensuelle de frais de bouffe de 500 euros, comme le maire ! Certes, ils ont droit de déjeuner mais on peut aussi s'organiser.
Vous vous interrogez encore pour savoir pourquoi la presse locale (c'est le même groupe pour le quotidien et l'hebdoi) soutient Olivier Gacquerre. La réponse est simple : LE FRIC ! La mairie aide directement par le biais de publi-reportages et autres numéros spécifiques, ETC. L'indépendance des journalistes c'est du pipeau. A Béthue, plus qu'ailleurs, ils sont aux ordres...