La municipalité a posé une plaque commémorative en hommage à Henri Louchart dans la salle des sports (un palais selon la municipalité...) du nom éponyme.
Mieux vaut tard que jamais, mais pour ceux qui l'ont connu, on aurait pu faire nettement mieux pour ce sportif militant, qui au-delà de l'athlétisme, a instauré la pratique sportive du badminton dans la cité de Buridan.
Un hommage où il fut largement, et a juste titre évoqué la carrière professionnelle de ce fonctionnaire de l'éducation nationale, en présence de sa famille cette fois (une inauguration du complexe sportif avait été réalisée, en mode express et en son absence, pour motif de campagne électorale).
Très discrètement, à peine audible son engagent très actif auprès de Jacques Mellick aurait été évoqué, dont il a été conseiller délégué au sport, et c'est sous son mandat que fut décidé et financé ce complexe sportif. Dont la construction fut malheureusement retardée par l'amateurisme, l'inexpérience, l'incurie entre d'autres, du tandem Gacquerre-Gibson. Et ce n'est pas fini en ce qui concerne la multitude des contentieux, que nous cachent les politiques cumulards professionnels, qui squattent l'hôtel de ville.
On aurait pu invité Jacques Mellick à cette seconde inauguration (on l'invitera peut-être pour la troisième ?). Encore un héritage dont peut se glorifier l'occupant actuel du fauteuil de maire. Ce qui explique cette hommage à l'odeur stalinienne !
On se marre d'autant plus que Patrick Perrin Adjoint en charge de la jeunesse et du sport, parait-il, expliqua que ce complexe (voulu par Jacques Mellick mais non cité) contribue au renouveau du quartier de la rue de Lille.
On vous laisse apprécier la crédibilité des déclarations des élus de la majorité qui connaissent par cœur le guide du "Coucou". Mais si, "comment s'approprier l'héritage des autres?"
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