BÉTHUNE : LES TRAVAUX DE L'HÔTEL BEAULAINCOURT ENCORE STOPPÉS ?

LE MAIRE DE BÉTHUNE DISTRIBUE GRATUITEMENT DES CRÊPES LE LUNDI MATIN À L'OMBRE DE L'HÔTEL BEAULAINCOURT

Malgré menaces et plaintes, les deux béthunois ne lâchent rien

La vente de l'hôtel Beaulaincourt à un promoteur privé pour en faire un hôtel de luxe avait animé la seconde partie de la mandature précédente. Michel François, ex-conseiller municipal d'opposition à Béthune et Hervé Abouadaou engageaient notamment des procédures contentieuses sur la procédure de vente, toujours en cours, et mettaient sérieusement en doute la solidité juridique et financière de de l'opération.

Un chantier où alternent de brèves périodes d'activités, qui succèdent à de longues périodes de "chômage" inexpliquées. Le chantier est toujours inachevé à ce jour. La majorité est bien silencieuse sur cette opération dont elle vantait le mérite à s'époumoner. Et le premier magistrat de la commune, qui distribue gratuitement à son ombre des crêpes lors du marché le lundi matin ne peut ignorer la situation. Il faut dire que lui aussi est un adapte confirmé des chantiers qui trainent à ne pas en finir

Notre maire-camelot, en est réduit à cet expédient pour attirer les chalands béthunois qui passent, et qui l'ignorent majestueusement. Imaginer un seul instant Jacques Mellick maire distribuant des crêpes lors du marché hebdomadaire. Nous sommes tombés bien bas !

Henri Tobo, et ses légendaires crêpes "Pépone"

Une distribution de crêpes que n'apprécie pas le communiste cégétiste Henri Tobo, qui avait le monopole des "crêpes" lors de la braderie de septembre à Béthune. Supprimée par le maire de Béthune, car ne répondant plus aux aspirations, selon lui, des béthunois. Encore une idiotie. Quoi qu'il en soit le Parti Communiste va souffler sur la braise de la révolte et mobiliser les troupes pour le retour de la traditionnelle braderie dans la cité de Buridan.

On soutient camarade !