Martine Descamps, conseillère municipale déléguée à la santé et au handicap, indique à la presse que le traditionnel "jumping" de la Pentecôte est supprimé faute de cavaliers : "125 cavaliers engagés alors qu'il en aurait fallu 220 pour respecter le budget". Comprenne qui pourra, mais le journaliste qui écrit ces lignes n'a pas la plume trés curieuse, et encore moins didactique. Il est surtout connu pour l'élasticité de son objectivité... En clair on noie le poisson d'un vériatble fiasco. Un de plus ! Une vraie catastrophe pour la renommée de la commune. Et cet échec n'est pas une fatalité, il s'inscrit dans la longue liste de l'inompétence, ou celle des règlements de comptes politiciens du clan béthunois Gacquerre-Gibson-El Azouzi ! Voire les deux.
D'autant plus que l'agglo béthune-Bruay a subventionné d'importants équipements (l'équipe précédente évidemment avec son dynamique vice-président aux sports, Thierry Tassez), toujours pas inaugurés à ce jour. Serions nous dans un nouveau réglement de compte politicien ?(1)
Ce qu'il faut savoir c'est que notre élue est aussi vice-président de la Société Hippique Rurale, qui a repris les reines de l'organisation de cette manifestation, et qui a fortement contribué à la renommée de la cité de Buridan. Précisons aussi que le président de cette société a démissionné pour "divergence" avec le vice-présidente, c'est à dire la municipalité. Appelons un chat un chat.
Entre nous, si cela n'était qu'une question d'argent, la ville a largement les moyens de faire face. Les économies réalisées par la suppression de la braderie, des Fêtes de l'eau, ect auraient largement permis le maintien de cette manifestation de renom international. Alors pourquoi ? Parce que le maire ne sait pas monter à cheval, et qu'il n'est donc pas "valoriser" par cette manifestation. Pas de photo de lui sur un canasson ! Nous sommes à peine dans la caricature.
Alors les béthunois, mais c'est une pure coïncidence pourront se consoler en observant un autre bidet, moins majestueux, moins performant, ridicule dans sa tenue courrant dans les impasses béthunoises pour se donner l'air dynamique. "Faut vous dire Monsieur que ces gens là on ne pense pas, on ne pense pas, on triche" (Jacques Brel). Il paraît qu'il serait adjoint au maire de Béthune. Et même le premier !
(1) Le manège, d’une valeur de 2,1 M €, a été financé en grande partie par l’agglo qui est propriétaire des lieux. Le président de l'agglo un certain Olivier Gacquerre aurait même pu conctrauellement faire un effort provisoire sur les loyers pour sauver ce jumping international, une manifestation à la renommée internationale et valorisante pour le territoire. C'est autre chose que le championat de domino de palettes.
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