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BÉTHUNE : LA RUE D'ARRAS DANS LA PÉNOMBRE ?



Le premier adjoint, "couteau suisse" de la connerie, Pierre Emmanuel Gibson, fanfaronnait médiatiquement sur la volonté de la majorité municipale de jeter aux poubelles de l'oubli les lampadaires "Beffy", symbole de l'époque glorieuse de la cité de Buridan. Celle des mandats de Jacques Mellick. Le motif invoqué pour cette insulte stalienne(1) à l'histoire réçente de la ville est l'économie d'énergie et le remplacement des ampoules traditionnelles par des lampes "LED". Etait-on obligé de changer les lampadaires ?


Le résultat est mitigé. Les rues de Béthune plongent désormais dans la pénombre et les dangers qu'elle génère...


On pourrait partager cette initiative, et comprendre en cette période d'explosion des coûts énergétiques, la volonté municipale. Mais simultanément le maire de Béthune, président de l'agglo Béthunz6bruay dépense plus de 500 000 euros pour chauffer la piscine ouverte de Bruay-Labuissière, en plein hiver !


Nous sommes de nouveau dans la politique politicienne, apanache des élus médiocres.


(1) Le couteau suisse de la connerie pour justifier l'injustifiable, déclare que les Béthunois ont "chassé" Jacques Mellick ! Rappelons que Jacques Mellick a toujours été élu par plus de 50% des Béthunois. Ce qui est loin d'être le cas du tandem Gacquerre-Gibson (un peu plus de 20% des inscrits) qui a été élu par défaut, suite à la présence de quatre listes et d'une division complice des forces de progrés. Une confirmation supplémentaire que le suffrage universel ne rend pas intelligent.

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