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BÉTHUNE : LA NOTION TRÈS ÉLASTIQUE DE LA MISE EN DANGER DE LA VIE D'AUTRUI PAR LE MAIRE ACTUEL


Les arrêtés de péril fleurissent à Béthune mais d'une manière très sélective. Le maire "protège" les Béthunois contre les chutes éventuelles d'une tuile du toit de l'ex- Petit Sapeur. Le grand jeux : des barrière et tuti quanti. Pour une tuile tombée délicatement tous les cinq ans. Par contre route d'Arras, à quelqies centaines de mètres, des pignons s'effondrent. Miraculeusement sans tuer personne souligne la presse locale, sans approfondir il va de soi. Pierre Emmanuel Gibson, le "couteau suisse" de la connerie municipale, qui habite non loin de là, va prendre un arrêté de peril paraît-il. Pourtant depuis les premières chutes il, y avait urgence !


SELON QUE TU SOIS POUR OU CONTRE LE MAIRE


Pourquoi cette différence de traitement ? Qui a tout d'un règlement de compte politique comme en témoigne le courrier reçu hier par Nelly Brassard propriétaire. Qui dénonce du harcèlement contre elle, et menace de dévoiler les "magouilles" du tandem Stéphane-Saint André-Olivier Gacquerre", quand ils dirigeaient ensemble la mairie. Le courrier ci-dessous en témoigne :





L'ex-proprio a une nouvelle fois saisi la justice, mais non par le canal du procureur, qui jusqu'à ce jour a systématiquement classé ses plaintes contre l'occupant actuel de l'hôtel de ville.



LE PREMIER MAGISTRAT SE MOQUE DE LA SÉCURITÉ DES BETHUNOIS


Finalement la vie d'autrui, le premier magistrat et sa clique s'en foutent royalement. On le savait déjà avec ce qui se passe à la prison de Béthune, au parvis de la gare, au Mont Liebaut, etc


De l'affichage comme pour la venue à Béthune d'un cirque avec animaux (lire ICI). Le maire rugit comme un lion en cage pour dénoncer ces intrus qui n'ont pas respecté son arrêté d'interdiction. Poutant il n'a pas saisi la police ou le Procureur de la République, comme il le fait régulièrement contre le directeur de notre publication. Qui est un danger pour la sécurité des Béthunois, comme chacun le sait. D'autant plus grave qu'il a connaissance du refus de la Commission de Sécurité (il s'en félicite même), mais n'interdit pas l'accés au chapiteau potentiellement dangereux. Pourquoi cette manséitude ?


En clair, une lamentable mise en scène. Notre "Monsieur Loyal" de circonstance a laissé faire, tout en gesticulant et protestant en paroles. La sécurité des Béthunois il s'en fout ! Soyons équitable, Pierre Emmanuel Gibson lui avait préconisé d'installer un caméra de vidéo surveillance à l'entrée du cirque.

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