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BRIDGESTONE : UN ENTERREMENT DE PREMIÈRE CLASSE


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7H , c'est dans une ambiance presque festive que la manisfestation se prépare. Rapidement une bonne centaine de manifestant se regrouprent autour des tonneaux- braseros flamboyants

Une marée d'étendarst syndicaux se deploient devant les grilles d'entrée de l'usine, où se sont donné rendez-vous une bonne trentaine de journalistes , essentiellement de la presse nationale.


RÉSIGNATION POUR LA FERMETURE


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Les responsables syndicaux sont pris d'assaut pour de multiples interviews. Toutes leus déclarations vont dans le sens d'une résignarion quant à la fermeture , au-delà des coups de geules contre les patrons voyous et du directeur de l'usine qui en prends pour son grade.

Un peu théatrale cette manifestation qui vise surtout à canaliser le mecontentement vers une revendication soft de "bonnes"

primes de licenciement.

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Xavier Bertrand, le président de la région des Hauts de France fait une brêve apparition. Un des rares élus présents... Hormis François Ruffin


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Un militant du parti communiste distribue le "LE BETHUNOIS", le journal des communistes de Béthune qui , à juste titre affirme que : "continuer à produire des pneus à Béthune c'est possible"


QUE DU SPECTACLE ?

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Les employés Bridegestone qui le souhaitent peuvent planter une croix à leur nom le long des grilles de l’usine. L’intersyndicale en a

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préparé 863, autant que d’emplois sacrifiés avec la fermeture de l’usine béthunoise.






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