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BARLIN : encore un fiasco et la Centr’halle à Barlin cherche toujours des porteurs de projets !

Dernière mise à jour : 30 janv. 2022


Capture d'écran (TdNM)


Il y a des dossiers qui reflètent, malgré eux, les capacités des hommes politiques, et celui de la "Centr'Halle" à Barlin en est un. L'héritier maire, Julien Dagbert (encore socialiste pour quelques semaines?) s'en était d'ailleurs saisi pour démontrer son savoir faire gestionnaire (Lire ICI).

Nous allions voir ce que nous allions voir, surtout en période électorale. Déjà après une première fermeture, il annonçait une réouverture pour fin 2018. Idem lors de la campagne municipale de 2020...


LES MASQUES TOMBENT


Fini de jouer les apprentis sorciers, notre bourgmestre éclairé avait fait appel à une société parisienne Mandon, spécialiste du sujet, claironnait-il médiatiquement en gesticulant, comme son géniteur, pour brasser du vent (une spécialité familiale qu'il a hérité, et dont on ne peut, soyons objectif, lui imposer la responsabilité), pour la reconversion de la friche commerciale en centre-ville, et ses 400 m2 de cellules désespérément vides.

Qu'importe la dépense, c'est le résultat qui compte et la fin justifie les moyens. Nouveau retentissant fiasco ! Prévisible d’ailleurs tant le projet dans sa conception initiale était farfelu car élaboré, sans études économiques sérieuses, à des fins purement électorales. C’est l’illustre gestionnaire, docteur ex-dépôt de bilan, Michel Dagbert (le papa quand il était maire) qui est à l’origine du projet !


Aujourd’hui, derrière un mea culpa récurrent, derrière l’affichage d’une pseudo bonne volonté, se cache un amateurisme irresponsable qui dilapide l’argent public !


POUR UN RÉFÉRENDUM RÉVOCATOIRE


« On ne va pas rester sur deux échecs, il faut aller de l’avant ». fanfaronne-t-il pour la presse. En route oui mais pour un troisième échec, car au mieux on bradera, on jettera l’argent public par les fenêtres, sur le triste modèle béthunois(1), pour attirer une repreneur qui restera le temps de la bonne aubaine et encore.

L’incompétence a un prix, il est révoltant dans faire supporter les conséquences aux contribuables barlinois. Le maire de Barlin, professionnel de la politique, est en dernier ressort le « salarié » des Barlinois. Doit-il continuer à Sévir ?


 


L’incompétence établie d’un salarié est sanctionné, dans le privé, par le licenciement. Alors, si on expérimentait dans la commune de Barlin le référendum révocatoire :« ce droit (2) de révoquer un élu en cours de mandat, par référendum, sur demande d’une partie du corps électoral. »


 

Tous les ingrédients sont largement réunis pour expérimenter.





(1) Olivier Gacquerre, maire de Béthune (et non des béthunois) n’est-il pas son modèle ?

(2) Voir sur ce sujet le livre de JPC " Le Début d'un autre début", préfacé pat Thierry Tassez, maire de Verquin


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