Pourquoi le 10 décembre ? car c'est le jour anniversaire de la ratification de la Déclaration des Droits de l’Homme par les Nations Unies en 1948. Des militants pour les droits des animaux du monde entier participent à la Journée Internationale pour les Droits des Animaux (à ne pas confondre avec la journée mondiale des animaux qui se déroule le 04 octobre !!) pour dénoncer l’hypocrisie qui consiste à ne pas reconnaître les droits fondamentaux des animaux non humains.
Cette journée d’action mondiale coordonnée vise à faire reconnaître les droits de tous les êtres sensibles à la vie, à la liberté et à l’épanouissement naturel. L’objectif de cette campagne est d’instaurer un débat public à propos de la manière dont les animaux sont traités et de parvenir à une reconnaissance internationale de leurs droits fondamentaux à ne pas être exploités
Le relais de cette campagne s’effectue par le biais de manifestations silencieuses (veillées) organisées devant des sites où les droits des animaux sont bafoués, notamment des laboratoires pratiquant des expériences sur les animaux (entreprises, facultés et autres établissements de recherche).
Aujourd’hui, les animaux souffrent car on continue à refuser de les traiter avec respect. Considérés comme de vulgaires marchandises dont on peut user et abuser et non pas comme des êtres capables de ressentir notamment douleur physique et émotions, les animaux ne possèdent aucun droit à la vie ni à la liberté.
Les animaux sont notamment : élevés et tués pour leur chair, leur peau et leur fourrure ; martyrisés et torturés dans les laboratoires d’expérimentation pour des expériences cruelles, etc...
Il s’agit de revendiquer des droits fondamentaux leur permettant de vivre librement, sans avoir à subir souffrances, emprisonnement et mise à mort pour servir les intérêts des humains.
Tous ceux qui pensent en la dignité et aux droits de l’Homme ne peuvent pas raisonnablement nier plus longtemps les droits fondamentaux des autres créatures vivantes et sensibles sous peine de faire preuve d’hypocrisie et d’injustice.
BORDEAU : UNE PLACE AUX ANIMAUX
Comments