Pas question pour le président, Pierre Emmanuel Gibson de changer les repas servis aux résidents des maison de retraite, malgré leur mauvaise qualité, qui frise la "maltraitance alimentaire", et que nous dénonçons depuis des mois. Il reste dans la lignée de son prédécesseur Olivier Gacquerre, maire de Béthune
Il explique que ceux-ci sont fabriqués dans le cadre de la cuisine centrale. On ne peut donc rien changer. Pour nous, cette unité centrale de production, cumule, en qualité, les désavantages de la cuisine industrielle, sans bénéficier de ses avantages en coûts réduits. C'est là le label de "qualité" de la gestion du tandem Gacquerre-Gibson.
Mais le président a trouvé la solution miracle pour faire avaler la "malbouffe" aux résidents, qu'il expérimente à partir de ce 1er mai. Pour l'adapter ensuite éventuellement la formule aux résidentes, et dans laquelle il affirme vouloir s'impliquer personnellement. On sait à quoi s'en tenir quant aux promesses de ces deux élus, nous confie Madame Patinoire.
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