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LE PRÉSIDENT DU SIVOM DU BÉTHUNOIS VA-T-IL RETOURNER À SES PREMIERS AMOURS ?

Pierre Emmanuelle Gibson, premier adjoint d'Olivier Gacquerre et président du Sivom du Béthunois, a travaillé quelques mois dans une importante entreprise du Pas-de-Calais, avant de devenir un professionnel cumulard de la politique, salarié des contribuables.


UN PROJET QUI NOUS LAISSE SUR NOTRE FAIM


Cette entreprise spécialisée dans le secteur d'activité de la fabrication de produits amylacés, lui a laissé le goût pour le secteur alimentaire et la cuisine en particulier. Il s'est, par exemple, fortement investi dans le dossier de la cuisine centrale du Sivom du Béthunois. Ce qui explique, pour certaines mauvaises langues, les carences et nombreuses incertitudes de ce dossier (lire ici).


Toujours des zones d'ombres sur le montant de l'investissement et du prix de revient des repas fabriqués, qu'il sera, toutes choses égales par ailleurs, judicieux de comparer aux propositions des entreprises privées.


LES PRODUITS DES GRANDS GROUPES ALIMENTAIRES INDUSTRIELS


Bien sûr, une certaine presse soumise nous rassasie d'articles laudateurs sur ce projet, en fait d'une grande banalité (voir ce qui se passe du côté de Liévin). Par contre l'examen des marchés publics des denrées alimentaires passés par l'établissement révèlent que l'on a toujours recours aux produits congelés. Que nous sommes très éloignés de l'achat local et encore moins du "bio" (1). Sauf peut-être pour les 120 000 euros annuels de boisson alcoolisée (ou non ?).


Nous avons voulu en savoir plus et nos investigations nous ont fait découvrir une autre réalité, plus secrète, mais non dépourvue d'intérêt.


RIEN NE SE PERD TOUT SE TRANSFORME


Le président du Sivom du Béthunois convoite révolutionner les menus. Il a composé un plat secret composé de peau de poulet, de restes de viande de porc et de cheval, de liants, d'épices, de chapelure pour la panure, d'exhausteurs de goût et d'autres additifs. Fabriqué de nos jours industriellement, le président du Sivom souhaite lui rendre son caractère artisanal et local évidemment. La trentaine d'agents de la cuisine centrale y travaillent secrètement. Il rêve même d'une première étoile.


On vous laisse découvrir ci-dessous.




(1) Il est facile de vérifier nos affirmations. Les marchés passés sont publiés - heureusement, c'est une obligation légale -, sur le site du Sivom du Béthunois.

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