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Le visage grave, l’infectiologue y tient son rôle, celui de l’initié qui ose dénoncer les dérives du système. Les coupables sont, selon lui, à chercher du côté de l’industrie pharmaceutique, « première source de corruption », et de leurs complices, des pseudo-soignants aveuglés par leurs conflits d’intérêts.
Dès le mois de juin, il signait Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? (Albin Michel). Un réquisitoire en règle contre la gestion de la pandémie, qui lui a valu de nombreux passages sur les plateaux de télévision. Du gouvernement au conseil scientifique sur le Covid-19, pas un responsable scientifique ou politique n’échappe au jeu de massacre. À l’exception du directeur de l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) de Marseille Didier Raoult, avec qui Christian Perronne partage l’inébranlable conviction que l’hydroxychloroquine est la panacée. Et ça marche : tiré au départ à 8 000 exemplaires, l’essai de l’infectiologue a été réimprimé pour atteindre un total de 103 000 copies.
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