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Immédiatement après la diffusion du communiqué, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a dénoncé "la politisation par des tiers" du débat autour de cette époque de l'histoire. Le génocide arménien est reconnu par plus d'une vingtaine de pays et de nombreux historiens, mais il est vigoureusement contesté par la Turquie.
Joe Biden, qui avait promis durant sa campagne électorale de prendre l'initiative sur ce dossier, a informé vendredi de sa décision son homologue turc lors d'une conversation téléphonique. Les deux dirigeants ont convenu de se rencontrer en juin en marge du sommet de l'Otan à Bruxelles.
L'annonce de Joe Biden n'aura pas de portée légale, mais elle ne peut qu'aggraver les tensions avec une Turquie que le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a qualifiée de "soi-disant partenaire stratégique" qui "par de nombreux aspects ne se comporte pas comme une alliée".
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