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BETHUNE RECHERCHE MAIRE BATISSEUR POUR CASSER LA SPIRALE DE SON DECLIN





La cité de Buridan décline. Sa perte de population est continue depuis l'arrivée d'Olivier Gacquerre à l'hôtel de Ville. Près de 1/5 de ses habitants. La ville s'est endormie, assoupie et appauvrie sous les flonflons des festivités répétitives, qui épuisent, entre autres, la police municipale. Ce n'est ni la faute à la Covid, ni à l'Ukraine. Ce n'est pas une fatalité, mais c'est la conséquence directe de la politique municipale du maire actuel.


Olivier Gacquerre n'a aucune ambition pour Béthune. Seule compte sa rééletion et l'immobilisme est son meilleur allié. Il veut transformer la cité de Buridan une petite commune de retraités aisés et conservateurs, cohabitant avec un mini califat construit autour de la mosquée catédrale, du pôle gare, et du Mont Liébaut. Ce qui explique l'explosion des maisons de retraites de luxe, et les complaisances dangereuses du premier magistrat avec les islamistes salafistes de la mosquée de Béthune. Une mutation malicieuse de la population et de la sociologie électorale de la commune se réalise en catamini.


D'autres possibles sont possibles. Comme l'illustre la politique menée par Gérard Vignoble, maire de Wasquehal, malheureusement récemment décédé, aprés 37 années de mandat. Un ville qui a gagné en population pour dépasser allègrement les 20 000 habitants, malgré la concurrence des communes de Croix, Mouvaux, Villeneuve d'Ascq ou meme Tourcoing. Une ville qui rayonne économiquement et brille dans de nombreux domaines. A quoi est due cette surprenante réussite ?


Gérard Vignoble a fait sien cet adage du bon sens populaire : "on n'attrape pas les mouches avec du vinaigre", ni avec les flonflons des fanfares municipales modernes, à savoir les grands concerts de Rapp et et autres spectacles grandioses .

L'ÂME DES BATISSEURS

Il faut avoir l'âme des batisseurs pour construire les fondations du développement de la cité. C'est ce qu'a fait Gérard Vignoble en dotant sa commune d'une patinoire et d'un Dojo. Comme l'a fait à Béthune Jacques Mellick. Des succès en termes de développement.


Comme le défait Olivier Gacquerre avec la défunte patinoire béthunoise, ou encore sur le terrain intercommual, avec le Centre Régional d'Arts Martiaux. Qu'il veut transformer en salle intercommunale des fêtes. Le déclin est mécaniquement au rendez-vous de son immobilisme festif.


Localement, le déclin n'est pas une fatalité, les communes de Verquin, Lapugnoy ou Saint Venant nous en offrent une démonstration éclatante. Des maires qui ont dans leur ADN un héritage des bâtisseurs de cathédrales d'hier.

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