COLIS ÉTRENNES DES ÉLUS DU CONSEIL MUNICIPAL BARLINOIS
« Où il y a de l’éthique, il n’y a pas de plaisir », pourrait être la devise de la famille Dagbert à Barlin. Chacun connaît les frasques du sénateur quand ce dernier présidait, avec un esprit très familial, la société ADEVIA. Qui a dû changer de nom pour se faire oublier, et se nomme désormais « Territoires 62. ». Les Barlinois suivent aussi, avec
consternation, le gaspillage d’argent public dans le dossier de la Halle en centre-ville , où l’irresponsabilité rivalise avec l’incompétence. Dernier épisode de ce lamentable feuilleton, mais loin d’être le dernier, le fils du père qui lui a succédé sur le trône majoral, va saisir un cabinet parisien pour trouver une solution à ce désastre gestionnaire. On a sans doute évité le pire, Julien Dagbert aurait pu solliciter un cabinet corse, où il a envoyé, il y a quelques mois, des fonctionnaires municipaux pour acheter un bus d’occasion… Est-ce bien légal s’interrogent certains juristes loin d’être pointilleux ? C’est à cause du Coronavirus plaideront le père et le fils, mais pas le Saint Esprit trop attaché à l’éthique.
LES ÉTRENNES DES ÉLUS BARLINOIS...
C’est noël, et la mairie de Barlin a pris une initiative, sans doute la première au niveau national. Celle d’offrir aux membres du conseil municipal, un superbe colis à faire bien des envieux dans cette commune où plus de 27% des barlinois vivent sous le seuil de pauvreté.
Un scandale qu’a dénoncé sur sa page Facebook, le chef de l’opposition municipale Rémy Majorczyk . Voir ci-dessous.
Dans la prochaine campagne municipale, les pauvres auront le droit à des promesses et voteront pour un bon maire !!! La mémoire en politique est de quelques jours .
C'est comme cela qu'on fait avec des électeurs en les gardant pauvres . C'est la politique dans cette région : on donne peu et ils encore plus peur d'avoir encore moins .