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LE PRÉSIDENT DU SIVOM DU BÉTHUNOIS TERMINE L'ANNÉE LA QUEUE ENTRE LES JAMBES !



Pierre Emmanuel Gibson, est le seul élu de France à avoir decouvert 5 millions d'euros cachés dans les fonds de tiroirs des services de l'État...





Pierre Emmanuel Gibson, président du Sivom du Béthunois, refusait de payer aux aides soignantes la prime "Grand Age", de plus versée par l'État, pour des raisons aussi obscures que sa gestion. (Sans doute la situation financière d'un établissement public de prestation de services qui n'est plus compétitif . Le Sivom du Béthunois est le symbole de la négation de l'intercommunalité de services !)


Il fanfaronnait le bougre et pas un seul élu de l'établissement pour lui faire entendre raison. Même l'épouse du maire de Béthune, sénatrice par un artefact mortifère, le désignait comme l'idiot du village (lire ici)


 

QUEL EST LE COÛT DES COMPÉTENCES EXERCÉES PAR LE SIVOM DU BÉTHUNOIS ?



Ce qui entre nous révèle l'état alarmant de la délisquescence de la responsabilité individuelle et collective dans la structure. Ils se tiennent tous par la barbichette des indemnités et autres petits avantages...


Pas un élu, et cela est dramatique, pour exiger la transparence sur le coût réel des compétences et une comparaison avec le privé, toutes choses égales par ailleurs.


Un contrôle de gestion s'impose devant ce "je m'enfoutisme colletif" . Les adhésions ou transferts de compétence se réalisent pour des motifs d'affinités politiques, de copinage, où en échange de petits avantages ou autres passe-droits, comme ce maire qui bénéficie de décharges syndicales et autres arrêts maladie à plein temps !

 

Il a fallu l'obstination du syndicat FO du Sivom du Béthunois et l'intervention d'une ministre pour qu'enfin le droit soit appliqué. En catimini, le 4 decembre 2022, aprés une année de refus ignorant, une délibération attribuait enfin aux aides soignantes leurs primes, illégalement confisquées.


Pierre Emmanuel, une fois de plus s'est planté, comme il se trompe régulièrement à la ville de Béthune. Son imbécile obstination n'a d'égale que sa ridicule prétention à jouer le jeune cadre dynamique(1). À jouer précisons bien. De la politique spectacle comme avec la restauration collective ou la police intercommunale, etc.


Pierre Emmanuel Gibson termine l'année la queue entre les jambes. Cela lui va à ravir ! En cette période de trêve des confiseurs nous préfèrons en rester là, même si nos porte-monnaies crient à la révolte devant ces coûteuses incompétences.


(1) Once Upon a Time, mais nous attendons la confirmation photographique, il singerait dans les ruelles béthunoises, un bandeau autour de la tête, en mimant les marathoniens, les candidats de KHO LANTA. Toujours dans l'apparence futile...

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